des trucs comme ça. regards jetés à travers le bar qui ne ferme jamais. pas encore l’heure de déserter. je feins des césars cannibales. cheminer, secousses, gommes à mâcher. borde, il où est le texte en soi. pas toujours axé facile. la télécommande, majuscule, une divinité de perdue. pourquoi fait-elle, la bouteille, deux tours sur elle-même en tombant dans le vide? est-ce un signe en ciel, l’heure de se ganter, une chronophobie ?… aurait-on dû voir quelque chose, à travers ton cri d’aiguille ? et que transpercent les secondes ? je me retrouve et je me relâche dans la nature. soyons intra secs ! genre légère caresse sur la peau, mais la peau d’hier. quelqu’un a appuyé sur le déclic. je suis comme une résine synthétique, la modulation de ta poche, un fouillis de haute fréquence. enfin, dans l’enfin parfois (où tourne un diamant). je promène des seulements en laisse, et ils me sèment. je change les tableaux, tous les jours, histoire de ne plus reconnaître mes murs, ni ce qu’en pensent les sentiments.
une pensée qui soulage : celle de cette voiture qui fait une boucle, toutes les nuits, long parcours qui tourne dans la ville qu’elle déflore. guidée par les lueurs, stable, elle avance sans faillir, belle et seule sur le ruban. je la vois passer plusieurs fois par fenêtre. un jour (une nuit) je l’emprunterai, et je suivrai mes progrès de bitume.
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