temps gris, cœur gros. le temps comme influence majeure de nos succès et infortunes. ne pas réfléchir mais cette sorte de transe fascinante où mène la musique c’est ça et puis c’est ça. et puis on se fout de l’audience, surtout en rêve. que rien ne compte, dans ton indifférence. il faut se priver un peu pour s’accroître. si je fais ce que je fais, après tout, c’est qu’il y a une bonne raison, et tant mieux si elle m’échappe. pourquoi faudrait-il toujours s’augmenter, se modifier, se diminuer, se que-sais-je.
je pourrais bien être un peu comme un animal qui agit comme il doit.